À l’éditeur mauvais payeur (4)…

Veuillez à présent écouter quelques messages personnels :

“Le roi est nu”

Je répète :

“Le roi est nu”

Andersen

Le Roi est nuDuncan Carse, 1923

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À l’éditeur mauvais payeur (3)…

Veuillez à présent écouter quelques messages personnels :

“Tu bluffes,

tu dis que tu sais mais tu bluffes

tu bluffes

tu peux pas t’en passer tu bluffes

J’essaie de te croire mais je n’y arrive pas

tes arguments mégalomanes ressemblent à des chèques en bois

parce que tu as la foi, tu peux bluffer l’existence

t’es prêt à n’importe quoi pour tromper l’évidence

comme un diable innocent,

comme un serpent

[…]

Comme un programmateur alcoolique avant le décompte atomique

tu bluffes comme un esclave et tes amis le savent

on se moque de toi quand t’as le dos tourné

tous les mannequins rigolent en faisant des pieds de nez”

Je répète :

“on se moque de toi quand t’as le dos tourné

tous les mannequins rigolent en faisant des pieds de nez”

Tu bluffes, Charlélie Couture, EMI France, 1991

Pied de nez

Vilhelm Pedersen

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À l’éditeur mauvais payeur (2)…

Veuillez à présent écouter quelques messages personnels :

“[Les lutins n’ont pas leur pareil pour] provoquer des événements en cascade, voire en cataracte – des événements incongrus, forçant les humains à révéler leur vraie nature. […] Plus légitime encore, l’opposition des lutins aux chambardements entrepris pour de sordides raisons de lucre.”

Je répète :

“ … pour de sordides raisons de lucre.”

Vie et mœurs des lutins bretons, Françoise Morvan, Acte Sud, 1999

Bug le Gnome

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À l’éditeur mauvais payeur…

Veuillez à présent écouter quelques messages personnels :

“I fought the law and… the law won”

Je répète :

“I fought the law and… the law won”

I Fought the law, S. Curtis, 1959, The Clash, 1979

Justice

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Pathétique et toc [Howard Sounes sur Bukowski]

Combien de fois l’avais-je entendu, cette biographie de Charles Bukowski sous la plume de Howard Sounes – Locked in the arms of a crazy life – l’emportait sur toute autre, évitant les pièges de l’hagiographie, n’épargnant pas les travers du personnage…

Ladite biographie vient d’être traduite en français aux Éditions Du Rocher sous le titre Charles Bukowski – Une vie de fou… L’intéressé y apparaît en couverture comme on a rarement pu le voir : pincé, hautain, inquiétant. Il existe des dizaines de photos de Bukowski, toutes ne sont pas posées, loin s’en faut. Elles montrent l’écrivain sous bien des jours : souriant, saoul, grave, saoul, hagard, saoul, désespéré, saoul… Jamais tel que sélectionné par Sounes.

Et pour cause : la “biographie évitant l’hagiographie” est un pur produit du people anglo-saxon tel que le pratiquent les non moins anglo-saxons tabloïds. Certes, un livre à charge sur Bukowski ne serait en rien gênant. Mais le livre de Howard Sounes n’est pas à charge, il est – selon la sémillante terminologie journalistique – “anglé”… Suivant les méthodes éprouvées de la presse à scandales, diverses méthodes sont alors à l’œuvre. À ce titre, les légendes du cahier-photos – bien des lecteurs n’iront pas plus loin – sont d’une grande éloquence. Toujours, il s’agit de présenter comme révélation ce qui est parfaitement connu. Et ce, pour mieux faire passer l’insinuation sans laquelle point de scandale…

“Le poète Steve Richmond resta un ami proche pendant des années mais trouvait hypocrite l’attitude de Bukowski vis-à-vis des drogues.”

Il convient ici, comme dans le reste du livre – “Bukowski n’avait pas eu le temps de se droguer mais il était complètement saoul.”, etc. –, de laisser entendre que le personnage fut toxicomane. (Il est vrai que Steve Richmond sait de quoi il parle, lui, adepte revendiqué du LSD, qui affirma avoir vu Bukowski, au cours d’une soirée, réduire à la taille de 75 cm…) Mais comme dans le cas de Gainsbourg, l’alcoolisme ne suffit pas. Et tant pis si la toxicomanie révélée consiste en “pas mal d’herbe à la fin des années soixante […]” et “son unique trip sous LSD” — dont l’intéressé ne fait pas mystère dans ses nouvelles, pour mieux affirmer d’ailleurs, au final, son opposition aux drogues.

“Le poète beat et écrivain Gay Harold Norse créa une controverse en révélant que Bukowski lui avait montré son pénis et lui avait demandé d’en faire autant.”

Oui, comme bien d’autres, Bukowski déballait la boutique quand il était ivre ; chose connue entre toutes. Mais sous-entendre une homosexualité latente est autrement vendeur… Et tant pis si l’homosexualité révélée – mais au fait, où est le problème ? – consiste, manifestement, en quelques expériences dont l’intéressé ne fait pas mystère non plus dans ses nouvelles.

“Joanna Bull se sentit si mal après avoir fait l’amour avec Bukowski qu’elle en vomit.”

S’il faut commenter, c’est que le malsain, l’ignoble, touche ici au grotesque. En guise d’enquête, Howard Sounes joue principalement des rancœurs des ex-compagnes de Bukowski décrites dans Women. Ainsi de Joanna Bull : “[…] un corps correct […] Sa conversation m’ennuyait et, la plupart du temps, son rire était faux et sonore.” L’intéressée ne manquant pas alors de se cabrer – “Nous avions des discussions passionnées et j’avais un corps magnifique !” — et, à l’invitation de Sounes, se venger…

“Jo Jo Planteen, une jeune admiratrice que Bukowski essaya de séduire à la fin des années soixante-dix.”

Sans doute le nom de l’intéressée, prédestiné à l’évocation du détournement de mineur, ne suffisait-il pas. Jo Jo Planteen apparaîtra donc sur la photo juvénile en diable, adolescente… Sans plus de commentaire, le corps du texte nous apprend pourtant qu’âgée de 22 ans, c’est elle qui contacta Bukowski “par défi” !

“Le poète William Wantling se saoula jusqu’à la mort après la publication d’un texte sarcastique de Bukowski sur son compte. Ce dernier essaya de séduire sa veuve éplorée, Ruth, qui ne lui pardonna jamais.”

Il fallait bien y arriver… Sur la fameuse nouvelle de Bukowski visant, dans son style habituel, William Wantling – décrit par Soumes comme souffrant “d’une terrible dépendance à la drogue et à l’alcool” – greffer l’accusation de meurtre par procuration… On reste alors ébahi devant l’argumentation fournie par le texte lui-même : “Bien que Wantling n’ait peut-être pas eu l’occasion de lire cette nouvelle, Ruth pense qu’il en entendit parler. Ses nombreux amis de L.A. l’avaient sans doute averti. Moins de deux semaines après la parution de la fin de la chronique, Wantling était mort.

Mais Howard Sounes ne fait pas que pratiquer le faux scoop, l’insinuation, la diffamation… Plus simplement, il ment par omission. Ainsi met-il en scène, pour les besoins du flétrissement, la fameuse lecture publique au City Lights Book de San Francisco en septembre 1972 :

 “ »On se connaît ? demanda-t-il à un fan qui l’interpellait à haute voix. Ne me bouscule pas, bébé…, dit-il d’un ton menaçant avant de se fendre d’un large sourire. Encore une bière et je vous prends tous ! » Il rejeta la tête en arrière, exposa sa dentition en ruine et gloussa « Ah ! Ah ! Ah ! Faites gaffe ! » Un autre spectateur tenta de monter sur scène. « Putain, qu’est-ce que tu veux, mec ? Dégage ! s’écria Bukowski comme s’il parlait à un chien. Qu’est-ce que t’es ? Un genre de vicelard ? »”

 La suite à l’avenant, toujours insistant sur la laideur physique du personnage, décrivant un malade mental en crise, prêt au passage à l’acte… Locked in the arms of a crazy life, n’est-ce-pas… Quand Howard Sounes publia son livre, en 1998, il n’était pas facile de contrôler ses dires. Aujourd’hui, après la sortie du documentaire Bukowski (Pretty Pictures, 2004), de John Dullaghan, on sait ce qu’il en est de cette lecture au City Lights Book. Et l’on comprend que Howard Sounes a sciemment choisit d’éluder les raisons de ce début d’altercation :

“Je ne me laisse pas faire. Je commence à lire mon poème. J’entends la voix de ce type s’élever par-dessus mon poème. Je vais me diriger vers lui et le foutre hors de la ville physiquement. Je vais le foutre dehors à coup de pied au cul. Alors fais gaffe ou je te démolis, mother fucker !”

Howard Sounes – qui n’a jamais rencontré Bukowski – n’a que faire de la réalité. La nature humaine lui est étrangère… Il méconnaît ce que les femmes délaissées racontent de leurs anciens amants… Il feint de tout ignorer de l’âme des poètes… Ne veut pas savoir ce qui peut se passer dans les bars… Et frémit à l’évocation des concours de bites… Comme tous les menteurs sans talent, Howard Sounes est pathétique. Et toc.

Charles Bukowski

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Petit reporter [souvenirs de]

“Je suis parti, je crois on peut le dire, un peu la fleur au fusil, pensant qu’en tant que journaliste, quand on s’attaquait à un tel fait de société, on ne pouvait qu’avoir un grand nombre de personnes derrière soi, peut-être pas tout le monde, mais en tout cas la majorité. C’est beaucoup plus compliqué que ça… Contrairement à ce qu’on pourrait croire, les sectes n’ont pas forcément mauvaise presse. Il y a dans la société, dans les médias, chez les sociologues des religions, dans bien d’autres secteurs encore, des gens qui défendent farouchement la liberté qu’ils disent « religieuse » et que j’ai constaté être la liberté de manipuler.”

Les Nouvelles croyances, France 3 Ouest, 19 novembre 2003

France 3 Ouest : Les nouvelles croyances

Quand je repense à cette déclaration que j’effectuais sur un plateau de télévision nantais, voici quatre ans passés (j’enterrais alors ma vie de petit reporter), je me trouve des pudeurs de chaisière…

Évidemment, à cette époque, il m’aurait été difficile de déclarer à la face du monde que mes archives regorgeaient d’aimables sauf-conduits et autres témoignages de moralités délivrés par quelque haut-fonctionnaire, quelque politique, quelque autorité morale, en faveur des pires crapuleries sectaires… Que dans ma bonne ville, de bonnes gens arrêtaient ma mère dans la rue : “Qu’est-ce ton fils est allé fouiller la merde ?…” Qu’en cette même ville du Ponant, le sympathique fonctionnaire de police en charge du dossier le conservait en une deshérence rimant avec complaisance, n’oubliant jamais, à l’inverse – et avec quelle inspiration ! –, de flétrir qui, ici, s’opposait aux crapuleries sectaires précitées… Qu’à Brest, toujours, l’intervention fiévreuse d’un petit notable dûment encarté à l’Ordre du Temple Solaire (74 morts à ce jour), suffit à me faire tricard dans deux librairies : livre indisponible dans l’une, conférence annulée dans l’autre. (Merci à La Cité d’avoir, elle, résisté.)

Non, vraiment, à cette époque, il m’aurait été difficile de déclarer tout cela. Aussi, il me faut aujourd’hui remercier Mme Emmanuelle Mignon, directrice du cabinet du président dela République, M. Nicolas Sarkozy. Au risque de la méthaphore animalière, il est en effet permi d’estimer que, grâce à sa délicatesse d’éléphant dans un magasin de porcelaine, le loup est enfin sorti du bois…

 

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Résistance (2)

Quand, à l’occasion des manifestations anti-CPE, je donnais ici ce lien, Résistance…, (cf. 15 AVRIL 2006) je ne pouvais imaginer ce que serait la situation vingt mois plus tard… Salon du livre… chambre d’hôtel… télé 36 cm… Et entendre La Drucker dresser son Droit d’inventaire de La vraie Libération, 60 ans après… La Drucker, oui, décolleté plongeant et sourcils épilés, posant aux concernés, soufflant benoîtement l’air des temps sarkozystes aux côtés d’amis choisis… (Ah ! le tragique Max Gallo…)

La tentative de récupération de Guy Môquet ayant échoué, changement de braquet ! Pour mieux flétrir ce que la Résistance, son programme, représentent encore aujourd’hui au plan politique, on a convoqué ce qu’il faut d’images trompeuses, de quiproquos assurés…

… “Madeleine qui fut tondue en public à 25 ans”… certes, par ceux de “la dernière heure”, sans lien avec les maquis, mais tout de même…

… “les enfants de boches”… victimes d’outrageux ostracisme à la suite de leurs mères. Il est vrai que tomber amoureuse d’un bidasse de la Wehrmacht durant l’Occupation était chose naturelle, compréhensible, la plus qui puisse être. Ce que ne pouvaient admettre brutes et barbares n’entendant rien aux choses de l’amour…

… “les Résistants du Vercors sacrifiés”… ces benêts ayant donné leur vie pour rien, tellement persuadés qu’ils étaient que le Débarquement aurait lieu dans la Drôme…

… “les Alliés au courant d’Auschwitz bien avant la fin de la guerre”…  et, partant, tacites complices de l’Holocauste… Plus de rapport direct avec la Libération ou la Résistance, mais la chose fait l’ambiance, pas question de s’en passer ! (Denise Holstein, rescapée d’Auschwitz, bien que travaillée au corps pour appuyer la démonstration conspirationniste… résiste ! Et rend un hommage appuyé à ses libérateurs…)

Salon du livre… chambre d’hôtel… télé 36 cm… La Drucker… et vomir.

Maquis du VercorsMaquisards du Vercors, 1944

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Histoire de gueule

“J’ai rencontré Renaud Marhic à la Bibliothèque municipale de Brest où l’on se partageait le même dictionnaire de synonymes. J’avais vu sa tête dans un numéro de l’Ours Polar, une interview menée par Christophe Dupuis et une nouvelle où il était question, entre autres, de Photomaton et de testicules, et une tête comme ça, ça ne s’oublie pas.”

Pol’Art Noir

Et puis Emeric a quitté Brest et je me suis retrouvé seul avec le dictionnaire de synonymes. Jusqu’à ce qu’aujourd’hui, à la bibliothèque, une fille vienne à passer – une fille en parka et bonnet, qui voulait faire mon portrait. Cela tourne à l’obsession. (Le mois dernier, Yann Le Neveu pour son exposition Écrivains de polar en Bretagne…) Toujours est-il… Quand la fille a eu fini son croquis, elle m’a fait remarquer n’avoir pas, respect du modèle oblige, reproduit le “bouton” – par là désignant ce grain de beauté m’ayant un jour poussé entre les sourcils comme troisième œil –, l’artiste ajoutant, à l’inverse, n’avoir pas fait l’impasse sur les “poils”. Alors, j’ai immédiatement proposé d’acheter la photocopie de mon portrait à la fille à bonnet. (5 € pour droits d’auteur.) Il m’était apparu en effet profitable de proposer ici, en témoignage – eu égard au syndrome récemment évoqué (cf. 8 JUILLET 2007) –, ces deux représentations de ma personnalité puisqu’aussi bien les clichés de Yann Le Neveu s’apprécient, eux, avec bouton et sans poil.

La fille voulait aussi un mot de moi, au choix, sur son œuvre…

“Une histoire de gueule…”

Oui, décidément, c’est bien ça.

Renaud Marhic

 

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Air con et vue basse [syndrome de]

“J’avais décidé de me pointer la bouche en cœur, pleinement confiant – je me le répétais comme un mantra – dans le syndrome de l’air con et de la vue basse.

Hermines et idées noires

De fait, alors petit reporter, combien de grands gourous, de demi-malfrats, ai-je abusés ainsi ? Eux, ego hors de contrôle, s’épanchant en confidences, s’époumonant en propos incriminants, devant moi – air con, vue basse –, qu’ils ne pouvaient sérieusement penser journaliste ; si ce n’est peut-être à Coin-Coin Magazine… Ceux-là, je les retrouvais aux prétoires, lippe écumante, regard brûlant de haine, réclamant des milles et des cents, enragés de s’être laissés perdre par leur mépris d’autrui. Déboutés, tous, je les ai abandonnés à la quadrature du cercle vicieux où s’agite leur répugnante condescendance…

Aujourd’hui, constater ce même mépris, quand – air con, vue basse –, ayant évoqué l’un de mes romans, l’une de mes fictions, il m’est gentiment proposé un quelconque plan foireux pour ces “livres qu’on ne trouve pas en librairies”. La tête de ces généreux, alors, apprenant qu’il s’agit, non d’un premier compte d’auteur, mais d’une douzième, d’une treizième publication, toutes ayant bénéficié d’une diffusion nationale. Ces “certains” – de près de loin “vivant” du Livre, pas moins prompts à tenir pour moins que rien qui ils ne peuvent sérieusement penser écrivain –, j’aime à éclairer la triste position d’où ils s’expriment : la morgue.

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Polar Grimoire

Bloguer ou créer, paraître ou écrire, il faut choisir.

J’ai choisi.

Neuf mois durant, j’ai écrit un roman, bâti une collection.

Des enquêtes, des intrigues, prenant pour base le légendaire du monde…

La collection “Polar Grimoire” a vocation à publier des textes contemporains mettant en scène l’humanité confrontée aux locataires de son imaginaire : des Korrigans à la Bête du Gévaudan… de Merlin à l’Ankou… de la Fée Morgane au Meneur de loups…

Le Polar Grimoire – ou “polar féerique” – entend privilégier des récits “carrés”, servis par une vraie qualité d’écriture. En cela, le Polar Grimoire se veut un héritier éclairé du roman populaire d’autrefois.

Les ouvrages se présentent au format semi-poche (12,5×18 cm) illustrés de croquis noir et blanc, sous couverture couleur. Le graphisme privilégiant, à cette échelle, le principe du “beau livre” ou “livre objet”.

Frédérick Houdaer a signé la première parution : Ankou, lève-toi. J’ai signé la seconde : Terminus Brocéliande. Le dessinateur Godo les a illustrées.

Loin, très loin des “Davincerie Code”, puisse Polar Grimoire représenter le vrai mariage du roman noir et des littératures de l’imaginaire !

Polar Grimoire

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