Je me demande souvent ce que deviennent les personnages de mes nouvelles, de mes romans. Jamais un mot. Pas même au Jour de l’An, aux anniversaires. Et quand je compose les numéros de téléphone que je leur ai attribués, d’autres qu’eux décrochent.
J’espère seulement qu’ils vont bien.
PS : mes Lutins, eux, sont omniprésents.