Terre de Brume – Collection Polars&Grimoires – 219 pages – 12 x 20 – 14 euros – ISBN : 978-2-84362-510-7
“Orphée.org est un roman noir de la collection Polars&Grimoires, des éditions Terre de Brume. L’auteur y poursuit son œuvre consacrée à la thématique de la manipulation mentale, à laquelle il a consacré une demi-douzaine d’essais journalistiques. Dans ce seizième […] ouvrage, Renaud Marhic creuse plus que jamais son sillon dans le domaine des littératures de l’imaginaire et en particulier du légendaire.”
Le Télégramme
“Même si le polar n’est pas notre tasse de thé, l’exercice de mêler fantastique et policier dans cette collection Polars&Grimoires attise toujours notre curiosité. Cette fois, c’est l’initiateur de la collection, Renaud Marhic, qui prend la plume pour nous entraîner dans une sombre histoire d’organisation surfant sur la détresse des gens, en l’occurrence ceux qui ont perdu un proche… Le héros-détective est chargé d’enquêter sur la disparition de plusieurs membres de cette organisation et plongera petit à petit en enfer. Un enfer trouble, où il entraînera son frère jumeau bien au-delà de ce qu’il pensait… On sent l’énorme travail de documentation qui se cache derrière ce roman noir parfaitement maîtrisé par un Renaud Marhic très en forme. Le background mythologique et spirite semblera certainement un peu compliqué aux néophytes mais les passionnés de légendes y trouveront terres connues pour une revisite contemporaine, décidément la spécialité de l’auteur, de ces thématiques éternelles.”
Richard Ely – Peuple Féerique
Terre de Brume – Collection Polars&Grimoires – 284 pages – 12 x 20 – 13,50 euros – ISBN : 978-2-84362-457-5
“Renaud Marhic a consacré, en tant que journaliste, plusieurs ouvrages aux mouvements de pensée faisant appel à la croyance et aux sectes. À son actif, notamment : L’Ordre du Temple solaire – Enquête sur les extrémistes de l’Occulte. Mais c’est aujourd’hui en tant que romancier que ce quadragénaire prolixe revient sur le devant de la scène. Avec Korrigans Connection, il publie son 14e ouvrage et son quatrième roman noir.”
Le Télégramme
“Renaud Marhic […] a été journaliste et a collaboré à des revues satiriques. Cela se sent, car derrière quelques événements rapportés dans le livre, il y a des réminiscences de l’actualité, notamment le clonage de la secte raëlienne, les scientifiques de haut vol qui encombrent comme experts les plateaux de radio et télé. De plus, le récit est interrompu par des dépêches de presse, des articles, une équipe de télévision, des rapports de la police, pour montrer le caractère sérieux de l’entreprise. Pourtant, c’est tout le contraire dans le texte même car ce récit baigne dans le fantastique le plus pur et le plus véryen qui soit. Des explications logiques sont données puis réfutées en un clin d’œil complice. Même si le début ralentit un peu l’action en posant les personnages et les intrigues secondaires sur les korrigans, très vite, le lecteur est embarqué dans cette histoire qui renoue avec un folklore breton (rendu vivant ici) aux prises avec le monde réel. On songe à Pierre Véry bien sur, aux premiers Bilal/Christin sur les légendes, et le roman se dévore avec plaisir, servi par le style malicieux du romancier.”
Laurent Greusard – K-libre
“À voir la couverture, on se demandait vraiment où l’auteur allait nous entraîner… Et puis, son style contemporain et joliment relevé, son sens précis de documentation, sa façon de mêler témoignages, coupures de presse, rapports de police à l’intrigue principale, tous ces éléments mêlés parviennent véritablement à créer le récit et on se prend au jeu. L’auteur parvient même à tenir le fil jusqu’au bout dans un final qui nous a beaucoup plu. Une façon originale de traiter du thème des korrigans et du Petit Peuple en général qui aurait pu se révéler désastreux mais qui ici est une réussite. Un livre qui sera certainement lu comme une curiosité par les amis des fées et comme un bon polar pour les amateurs du genre.”
Richard Ely – Peuple Féerique
“On ne reviendra pas ici sur la façon dont Renaud Marhic décortique les mécanismes qui aliènent la perception des individus ou des groupes afin de les rendre crédules. […] On retrouve dans Korrigans Connection les ingrédients habituels aux romans noirs de Marhic : journalistes […], new age, érudit ésotérique, religion… on y recroise aussi, en filigrane, ses points de vues et théories sur les effets pervers de l’hystérie collective, sur la préparation de terrain consciemment ou inconsciemment mise en place pour faire avaler des couleuvres grosses comme ça, et cela pourrait devenir un peu lassant si un nouvel élément ne faisait pas son apparition : Renaud nous parle de l’enfance. Admirablement, avec sensibilité et espièglerie, sensibilité dans le sens de faculté à faire passer la sensation, nous apporter les odeurs et les découvertes de l’enfance. Quelque chose de branché sur la manière de Jan Thirion. […] N’oublions pas une certaine tendresse, l’humour et la révolte, contenus dans le style même de Renaud Marhic, qui sont aussi au rendez-vous.”
Emeric Cloche – Pol’Art Noir
“Les amateurs de polars se régaleront dans les fines analyses de société qui nous propose Renaud Marhic, son humour non dissimulé envers les politicards et sa grande connaissance du milieu. Et les amoureux de féerie se retrouveront dans le folklore Breton, la jeunesse des protagonistes et le personnage de René Le Brac, lutinologue haut en couleurs ! […] On nage entre ultra-réalisme et folklore et la plume de Renaud Marhic est exigeante, maitrisée. Aucune facilité dans ce roman, tout est poussé très loin et on ne peut qu’applaudir à deux mains. Un livre qu’on ne sait véritablement pas à qui recommander et qui peut s’adresser à tous les lecteurs, au risque peut-être de trouver plus difficilement son public qu’un ouvrage plus commun. Mais saluons bien bas l’engagement de Renaud Marhic et de cette belle collection.”
Peggy Van Peteghem – Psychovision
“Puisant dans des ouvrages d’archéologues et ethnologues de la fin du XIXe siècle, début XXe, tels que Zacharie Le Rouzic, René-François Le Men ou encore Paul Sébillot, Renaud Marhic nous entraine dans […] une fiction particulièrement réjouissante […] avec une verve et un vocabulaire riche sortant de l’ordinaire. Marhic est un passionné de la Bretagne, de ses légendes, de son folklore et du Petit Peuple […] Mais une passion qui ne l’aveugle pas et il sait se moquer de certaines croyances, légendes [et] extravagances.”
Paul Maugendre – Mystère Jazz
Terre de Brume – Collection Polars&Grimoires – 181 pages – 12 x 20 – 11,50 euros – ISBN : 978-2-84362-464-3
“Mêler le féerique et le roman noir peut sembler le comble du paradoxe […]. Ici Renaud Marhic opère un tour de passe-passe dont on ne révélera rien mais qui permet jusqu’au bout la collusion des genres. Ce roman, véritable promenade dans l’Imaginaire, réjouira les amateurs de mystères en tous genres, les accrocs aux jeux de rôles, les mordus de vieux bouquins et les lecteurs aimant s’évader en des contrées plus obscures qu’une plage des Seychelles.”
Patricia Châtel – encres-vagabondes.com
“L’histoire bien ficelée, bourrée de clins d’œil, est servie dans un style coupé au couteau, immédiatement identifiable. Chaque mot est pesé et interpelle le lecteur. Une fois le livre refermé on se dit que oui, la lecture de Terminus Brocéliande se fait à plusieurs niveaux et que Renaud Marhic vient de nous mettre en garde, avec justesse, encore une fois, contre certains charlatans qui se nourrissent d’âmes trop crédules.”
Emeric Cloche – Pol’Art Noir
“Renaud Marhic lance le polar féerique. À 42 ans, [il] a depuis longtemps fait sienne la formule voulant que « le droit au rêve a pour pendant le devoir de vigilance ». [Dans] Terminus Brocéliande, il s’attache à mettre en pratique la ligne qu’il s’est assignée.”
André Rivier – Le Télégramme
“Pour son treizième ouvrage et troisième roman noir, [Renaud Marhic], ce journaliste d’investigation plonge le lecteur dans les mystères de la forêt de Brocéliande où un thésard en anthropologie est porté disparu. Un criminologue […] va devoir déterminer la part du vrai et du faux.”
Ouest France
“Un polar qui fait plutôt bon ménage avec la féerie.”
Elegy
“Le thriller féerique, véritable branche du fantastique, renaît bel et bien avec Terminus Brocéliande, qui est tout sauf une halte.”
Julien Vedrenne – Le Littéraire.com
“Beaucoup de mal à entrer dans le livre, bien mis 50 pages à me questionner puis, comme dans la cultissime série Twin Peaks, tout est permis : les choses les plus simples deviennent folles, les plus folles, normales et en fermant le livre, on se demande si on n’a pas gagné un ticket pour une visite au Pays de La Folie Douce. Y compris une virée dans un espace qui m’a fait penser au salon rouge du Twin Peaks de Lynch… […] Un livre qu’on oublie pas : comme une promenade sur le Colorado, dans un bateau dont on pense avoir la maîtrise mais qui suit ses propres règles et où pagayer est moins profitable que de laisser le courant vous mener par le bout de la proue.”
Véronique De Laet – Phénix Mag
“Le jeune disparu nous entraîne dans ses délires fantasmagoriques, « de l’autre côté du miroir ». On le suit avec curiosité dans cet univers décalé. Néanmoins, l’auteur est plus cartésien qu’il y paraît. L’ésotérisme démoniaque et les mythes celtiques sont ici le prétexte (bien documenté) à une vraie enquête […]. Renaud Marhic maîtrise avec subtilité le rythme de ce kaléidoscope, avant d’en décoder les images. Ce « thriller féerique » se veut déroutant, atypique : c’est bel et bien le cas. Voilà un roman dont il convient de saluer la belle originalité.”
Claude Le Nocher – rayonpolar.com
“L’intérêt de l’histoire va grandissant au fil des pages et […] la troisième partie, celle qui nous entraîne sur les pas de Yeats, Machen et Stoker est bien plus captivante et pourtant moins exploitée que les précédentes. Il y avait là matière à en faire le livre entier.”
Peuple Féerique
“L’auteur joue à loisir des styles, prend ses distances avec le réel magique de l’œuvre, s’en amuse, tourne autour l’air de rien, pour y revenir en savant de la littérature ésotérique du XIXe, dans une écriture volontiers kaléidoscopique.”
Joël Jégouzo – K-libre
Éditions Rhubarbe – Collection Être au monde – 268 pages – 125 x 200 – 13 euros – ISBN : 9-782916-597140
“C’est un petit éditeur installé à Auxerre… mais qui joue dans la cour des grands. Les Éditions Rhubarbe ont pris l’habitude de publier des romans hétéroclites, inclassables autant qu’étranges, mais qui laissent des traces. Et le dernier roman de Renaud Marhic, L’Oreille de Denys, est de ceux-là. Attention, âme sensible et effarouchée s’abstenir, dès les premiers mots, voilà un style qui décoiffe. Renaud Marhic a écrit pour Charlie Hebdo, il en a gardé certains tics d’écriture. Des phrases brèves, sans verbe. Des images qui font mouche, à la fois baroques et quotidiennes. Des jeux de mots à l’emporte pièce et une façon haletante – et pas toujours simple à suivre – de conter l’histoire la plus simple. […] Il faut plonger dans les 250 pages de ce roman pas ordinaire, et les rêves quelque peu morbides de son auteur. Et suivre ses digressions, volontaires bien sûr, et bien pratiques quand il s’agit de stigmatiser notre époque et ses errances. Il y a quelque chose de pourri en ce royaume, et Renaud Marhic le dénonce avec force… et jouissance.”
J. Rémy – Le Bien Public
“Un de ces styles qui donne envie d’écrire […]. Un constat amer : des gosses paumés aux cervelles farcies de vent, en proie aux menteurs qu’ils soient médiatiques, christiques ou thérapeutiques, charlatans auto-convaincus de leurs bienfaits… on retrouve là le combat de Renaud Marhic journaliste. L’Oreille de Denys se termine en cours magistral salvateur. Un hymne à l’esprit des Lumières. Une bouée de sauvetage – comme le sont toujours les bons livres – à laquelle il est bon de s’accrocher.”
Emeric Cloche – DJ Duclock
“Publicité et marques internationales constituent l’unique culture d’une part de la population, dont le langage se limite au vocabulaire des messages SMS, et qui se laisse émouvoir par n’importe quelle ineptie vue à la télé. Dans ces conditions, avec le soutien de certains psys autoproclamés, il est facile de fabriquer de nouveaux mythes, bien entendu lucratifs. Voilà la philosophie de ce roman. Renaud Marhic est un de ces inclassables qui, refusant la narration linéaire, n’oublient toutefois pas de raconter une vraie histoire afin d’illustrer leur propos. S’il ne s’agit pas exactement d’un suspense, on l’aura compris, le récit reste diablement vivant. […] L’observation du monde actuel amène une délicieuse tonalité caustique. Véritablement original.”
Claude Le Nocher – rayonpolar.com
“[…] l’auteur brestois s’engage dans un nouveau registre, celui de la dénonciation d’une société de communication qui cultive la pauvreté du langage d’une génération nourrie de reality-show. C’est haletant, féroce et dérangeant, y compris dans le style escamoté de la narration.”
Sillage
“Où il ne sera pas question de la seule « Oreille de Denys », mais également de celle de Renaud Marhic, de celle qu’il prête aux messages de notre époque (des plus flagrants aux plus insidieux). […] Il écoute, décrypte, démine, retranscrit… en un verbe comme en cent : il écrit […]. Évoquer la prose de Marhic, c’est parler d’une littérature contemporaine et adulte (ce qui ne l’empêche nullement d’être hantée), montrer qu’un style des plus travaillé peut être le meilleur outil de discernement, et non une technique d’enfumage. Marhic, s’il arrache de nombreux masques, ne théorieducomplote pas le moins du monde, il a trouvé quelque chose de plus pertinent à faire : établir un état des lieux le plus précis possible (faisant donc appel aux ressorts les plus poétiques de la langue) du théâtre des manipulations en cours. […] S’il est exact que l’on mesure l’importance d’une œuvre littéraire par le nombre d’ouvrages qu’elle annule, s’il est vrai que l’on reconnaît un écrivain au nombre d’ennemis qu’il ne craint pas de se faire, le doute n’est plus permis concernant L’Oreille de Denys et Renaud Marhic. Lecteur, tu auras été averti.”
Frédérick Houdaer – Branloire pérenne
“Renaud Marhic sort des sentiers battus avec son écriture, ses ellipses, son festival de démonstrations. Un clou enfoncé à chaque chapitre. Tac. Tac. Tac. […] Hilarant et grinçant, le roman apporte un œil rare sur notre environnement. On se prendra d’ailleurs à reluquer toutes les cafétérias de France en se demandant si le type solitaire là-bas, en observation de ses congénères, n’est pas Renaud Marhic.”
Pol’Art Noir
“Et une mention spéciale pour Renaud Marhic et son roman L’Oreille de Denys […] C’est vivant, varié, comique et l’écriture très personnelle et résolument moderne de Marhic apporte une touche toute particulière à ce roman de 250 pages.”
Microbe
Éditions Terre de Brume – Collection Granit noir – 216 pages – 125 x 185 – 9,75 euros – ISBN : 2-84362-212-3
“L’histoire commence dans un style incisif et rythmé, dans une langue verte et imagée, qui campe bien le personnage du reporter marginal et désabusé. Être excessif, ivrogne, vulgaire et machiste, pas très sympathique de prime abord, mais aussi fragile, seul. On s’attache. On le retrouverait volontiers dans une autre aventure […].”
Annie Gautun – Harfang
“Ce roman est déconcertant à plus d’un titre […]. Par le style d’écriture […], style télégraphique déboussolant utilisant de nombreuses parenthèses, comme si l’auteur et le narrateur avaient communié ensemble au vin de messe à plusieurs reprises, et pas qu’au vin de messe […]. Mais on marche, que dis-je, on court 178 pages environ sur 182.”
Paul Maugendre – mauvaisgenres.com
“Renaud Marhic […] n’a pas son pareil pour décrire l’ordinaire d’une salle de rédaction, ou un paranoïaque en pleine requête. Il sait manier aussi bien l’ellipse que la parenthèse (cela fait un bail que l’on n’a pas fait un aussi bon usage de cette dernière). Un feuilleton formidable parcourt le roman, le récit que fait le narrateur à sa copine pour l’entretenir de l’histoire très tortueuse de l’Église. Quel torrent ! Imaginez Bukowski vous racontant La chair et le sang de Verhoeven !”
Frédérick Houdaer – rayonpolar.com
“Une histoire alambiquée de papauté avignonnaise qui aurait perduré au long des siècles ; le véritable intérêt réside dans le journaliste / enquêteur / gueule cassée de la vie et dans le style d’écriture original qui le met parfaitement en scène.”
PmM – kafkaien.org
“Églises, sectes, sociétés secrètes : tel est le thème de prédilection de l’auteur, journaliste indépendant. La vie et l’œuvre de Benoît XIII ne nous sont certes pas familières. Mais la narration vivante entraîne les lecteurs dans les arcanes de ce lointain schisme. On suit avec grand plaisir les ironiques mésaventures du héros. Ce looser très crédible est en quête d’une incertaine vérité qui n’intéresse plus que lui – et nous. L’écriture peut déconcerter, mais elle offre le ton adéquat au récit. Voilà un roman plutôt original et fort convaincant.”
Claude Le Nocher – L’Année de la Fiction
Éditions Terre de Brume – Collection Granit noir – 253 pages – 110 x 170 – 7,50 euros – ISBN : 2-84362-082-1
“Renaud Marhic s’autorise de beaux morceaux de rock’n’roll et dévoile un jeu de poker qui va crescendo, maniant humour et adrénaline sans jamais oublier que le propos est, lui, tout ce qu’il y a de plus sérieux.”
Élodie Thivard – Jeunes à Paris
“Marhic connaît son sujet, pas de doute.”
La Voix du Nord
“Comme on le ressent parfois à la lecture de certains récits de Didier Daeninckx, ont se dit que les inquiétants personnages qui grouillent dans ce livre sont décidément trop […]. Entre une certaine tendance actuelle du polar breton à faire dans l’insipidité et la platitude, et une littérature plus radicale, Renaud Marhic à choisi son camp.”
Jean-Luc Germain – Le Télégramme
“Un livre moins innocent qu’il n’y paraît dans la lignée d’un Didier Daeninckx […]. Une écriture brève, hachée, au grand pouvoir évocateur. Les images naissent et on se fait son cinéma […]. On ne s’ennuie pas une minute. Un livre à lire.”
Le Trégor
“Ce livre passionnant nous ramène aux heures les plus riches du néo-polar […]. Un livre qui fait mal aux gencives, un livre politique sur lequel plane – évidemment – l’ombre de Manchette. Car Hermines et idées noires est un de ces romans qui accuse, implique, polémique […]. Et, comble de l’attente, le récit est bien enlevé et tient en haleine.”
Nathanaël Tribondeau – La Mandragore Verte